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) de calvus. Au sens figuré, calvus peut aussi vouloir dire « dépouillé », et pas seulement « chauve ». Enfin je crois, n’ayant jamais fait de latin, il est possible que cette devise soit un peu bancale, la traduction vous paraît-elle juste ?
Il me semble que Levyryl, en latiniste distingué, va trouver ça tiré par les cheveux...Reliavech a écrit:Ma devise est un jeu de mot en latin : Calvo spes superest, si je traduis bien, en français ce pourrait être « A qui est dépouillé, reste l’espérance » ; mais elle peut tout à fait se traduire comme « L’espérance te reste [Calvo] » ou « L’espérance demeure », en considérant « Calvo » comme le nom, et non comme le datif (c’est bien le datif non ?
Brinjo a écrit:Il me semble que Levyryl, en latiniste distingué, va trouver ça tiré par les cheveux...Reliavech a écrit:Ma devise est un jeu de mot en latin : Calvo spes superest, si je traduis bien, en français ce pourrait être « A qui est dépouillé, reste l’espérance » ; mais elle peut tout à fait se traduire comme « L’espérance te reste [Calvo] » ou « L’espérance demeure », en considérant « Calvo » comme le nom, et non comme le datif (c’est bien le datif non ?
Ah ben j'avais dit jeu de mot, du coup on peut y aller !Levyryl a écrit:Brinjo a écrit:Il me semble que Levyryl, en latiniste distingué, va trouver ça tiré par les cheveux...Reliavech a écrit:Ma devise est un jeu de mot en latin : Calvo spes superest, si je traduis bien, en français ce pourrait être « A qui est dépouillé, reste l’espérance » ; mais elle peut tout à fait se traduire comme « L’espérance te reste [Calvo] » ou « L’espérance demeure », en considérant « Calvo » comme le nom, et non comme le datif (c’est bien le datif non ?
Une calvitie tirée par les cheveux, c'est bien observé !
Il y a eu un ministre étranger qui s'appelait Calvo Sotelo. Son meurtre a rallié le général Franco à la rébellion contre les républicains (pas ceux de Sarkozy, faut-il le préciser...., les républicains espagnols !).
).
Si j'ai bien suivi... C'est son nom. Voilà qui résonne raisonnablement non ?Brinjo a écrit:Ce Calvo a-t-il réellement une résonance pour vous ?
C'est l'idée oui !DrAg0r a écrit:Si j'ai bien suivi... C'est son nom. Voilà qui résonne raisonnablement non ?Brinjo a écrit:Ce Calvo a-t-il réellement une résonance pour vous ?
Effectivement, j'ai zappé le "j’ai demandé à Google à quoi ressemblait le blason des Calvo, puisque c’est là mon nom." dans sa présentation. Du coup ça tient très bien la route !DrAg0r a écrit:Si j'ai bien suivi... C'est son nom. Voilà qui résonne raisonnablement non ?Brinjo a écrit:Ce Calvo a-t-il réellement une résonance pour vous ?
Correction du lienBrinjo a écrit:En ce qui me concerne, j'ai au mur, affichée au dessus de mon bureau, cette phrase écrite en majuscules de 5 cm de haut:
"TOUT IDÉAL IRRÉDUCTIBLE EST NÉCESSAIREMENT PRIMAIRE"
Je ne sais pas si ça peut faire une bonne devise...
Mais ne philosophez pas trop là dessus. J'étais prof de math, et en fait ça concerne la théorie additive des idéaux
(pour ce que ça chatouille, voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Idéal )
Ah ! L'amitié d'Arthur pour le preux Lancelot ! Moins gravée dans son coeur que gravée dans l'anneau : pour Guenièvre elle craque, et n'a pas survécu - il n'est point d'amitié pour qui te fait cocu ! (En valeur, l'amitié n'atteint pas le sommun !)Laynon a écrit:Bonjour à tous,
Même si je pense l'avoir déjà raconté dans un de mes tout premiers sujets, ma devise est "fidèle je demeurerai".
Ces 3 mots sont tirés du doublage français d'un film holywoodien des années 50 qui s'appelle "Les Chevaliers de la Table Ronde" que j'ai regardé x fois étant petit. La phrase complète est "fidèle je demeurerai, ami je resterai" et est une maxime que le roi Arthur fait graver sur un anneau qu'il offre à Lancelot en signe d'amitié et de fraternité.
Par simplicité je n'ai gardé que les 3 premiers mots, en français comme me l'avait suggéré Messire Rannick (au départ je pensais les mettre en latin)
Cette devise est à prendre au sens large. La fidélité n'est pas qu'envers les autres mais également envers soit même. Si on creuse un peu le concept (sans faire de philosophie à 2 sesterces), la fidélité envers ce que l'on est ou ce que l'on croit renvoie à une forme d'honneur. La fidélité "intérieure" est, je le pense, "inviolable" car profondément ancrée en soi.
Sinte.LN a écrit:
Seul fidèle est le chien -meilleur ami de l'homme ! - servilement soumis à celui qui le dresse : l'ami fidèle est un toutou au bout de sa laisse.
Levyryl a écrit:Sinte.LN a écrit:
Seul fidèle est le chien -meilleur ami de l'homme ! - servilement soumis à celui qui le dresse : l'ami fidèle est un toutou au bout de sa laisse.
Qui conduit l'autre, l'homme ou le toutou ? Après tout, chacun est à un bout de la laisse.........
C'est la dialectique du maître et de l'esclave, où l'un dépend de l'autre et réciproquement... Mais il n'ya pas photo: si la laisse est entrave, à un seul bout les choix seront déterminants...Rollo a écrit:Fine réflexion, Levyryl !
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