Rappel du premier message :
La règle des couleurs ne s'applique pas aux "petites pièces" dixit Pastoureau. Il faut entendre des meubles ou des pièces ou autres qui ne sont pas principaux sur la surface de l'écu (ex : meuble brochant sur partitions (ex. votre gironné qui aurait dû être métal/émail au chamois brochant), armé et lampassé, lambel, etc.). Ceci sur la période d'apparition des armoiries. Après s'installent, entre autres, des chefs dits "cousus" selon les termes des traités de blason du XVIIe s. Ces chefs sont nombreux, je pense aux armes du Sud-Ouest (Capitouls) et puis il y a les brisures (lambel, cotice, etc). Quant à l'Italie pour la période moderne règne souvent la dispense à cette règle.
Pour vous qui êtes alpin, vos congénères du moyen-âge, dans les zones germaniques ont souvent choisi des cornes de bouquetin (wappenroll von Zurich, Grunenberg, etc...) qui constituent la même évocation. Pour le trescheur, que j'aime beaucoup, je le trouve trop écossais désormais et cela décale géographiquement votre composition. Maintenant vous êtes libre et pour une fois que nous tenons un futur propriétaire avec ses goûts, il faut précieusement prendre notes de ses choix pour expliquer aux générations futures.
La règle des couleurs ne s'applique pas aux "petites pièces" dixit Pastoureau. Il faut entendre des meubles ou des pièces ou autres qui ne sont pas principaux sur la surface de l'écu (ex : meuble brochant sur partitions (ex. votre gironné qui aurait dû être métal/émail au chamois brochant), armé et lampassé, lambel, etc.). Ceci sur la période d'apparition des armoiries. Après s'installent, entre autres, des chefs dits "cousus" selon les termes des traités de blason du XVIIe s. Ces chefs sont nombreux, je pense aux armes du Sud-Ouest (Capitouls) et puis il y a les brisures (lambel, cotice, etc). Quant à l'Italie pour la période moderne règne souvent la dispense à cette règle.
Pour vous qui êtes alpin, vos congénères du moyen-âge, dans les zones germaniques ont souvent choisi des cornes de bouquetin (wappenroll von Zurich, Grunenberg, etc...) qui constituent la même évocation. Pour le trescheur, que j'aime beaucoup, je le trouve trop écossais désormais et cela décale géographiquement votre composition. Maintenant vous êtes libre et pour une fois que nous tenons un futur propriétaire avec ses goûts, il faut précieusement prendre notes de ses choix pour expliquer aux générations futures.