Post trouvé "chez Y de Tarade"
Pour info sortie de 2 ouvrages:
1 Dictionnaire d'Héraldique de JP Fernon excellent ouvrage de fond , très riche et documenté;
Avant-propos
Depuis quelques décennies, l'héraldique connaît un regain d'intérêt. Des ouvrages
retraçant l'évolution de cette science de ses origines jusqu'à nos jours, ainsi que des
armoriaux des différentes provinces de France ou de pays étrangers sont
régulièrement édités ou réédités. Les encyclopédies - Larousse et Quillet - ont
largement diffusé les armes des grandes familles et de la plupart des chefs-lieux de
cantons français reproduits - ou, pour certains, créés - par l'héraldiste Robert Louis,
qui, par la qualité de ses dessins et de ses compositions, a sans nul doute contribué à
cet engouement pour le blason. A cela ajoutons l'impact non négligeable d'Internet
qui présente de plus en plus de sites d'une grande qualité sur le sujet.
Cependant pour le profane, le langage du blason reste souvent hermétique.
Nombreux sont ceux qui aimeraient, en lisant une description, pouvoir se représenter
ou même dessiner les armes d'une famille ou d'une commune. De même, beaucoup, à
la vue d'un écu armorié, souhaiteraient en noter de façon précise la définition. C'est à
eux que s'adresse cet ouvrage.
Si le vocabulaire héraldique était assez simple au Moyen Age, il s'est
considérablement chargé, au cours des siècles, de termes souvent inutiles qui ne font
que décourager les non-initiés. Dans son ouvrage "Figures de l'héraldique", Michel
Pastoureau écrit fort justement : "Un effort de quelques heures suffit pour apprendre
la petite centaine de mots et les quelques tournures syntaxiques qui permettent de
décrire en français plus de 80% des armoiries". Cependant, tous ces termes inutiles
sont entrés dans le vocabulaire héraldique et nous ne pouvons les ignorer.
Dans une première partie, on trouvera la liste alphabétique d'environ 1800 termes
utilisés en héraldique, certains étant d'un emploi peu courant ou pouvant être
remplacés, par souci de simplification, par un terme - ou une expression - que nous
appellerons "générique" et que nous signalerons (en vert). Pour la majorité des
articles, nous avons donné la nature du mot, et, parfois, son étymologie. Comme dans
tout dictionnaire analogique, on trouvera, à 1'intérieur de ces articles, certains mots -
en italique - qu'il convient de consulter à leur place dans l'ordre alphabétique pour
obtenir des renseignements complémentaires. Les chiffres suivis généralement d'une
ou plusieurs lettres renvoient aux planches de dessins figurant dans la deuxième
partie.
10
Dans cette deuxième partie, plus de 1200 dessins ont été classés, non par ordre
alphabétique, mais par catégories ou par formes particulières, ceci afin de permettre la
reconnaissance plus facile d'une pièce ou d'un meuble que l'on aura rencontrés dans
un écu armorié. Chacun des dessins est accompagné d'une légende dont les termes
sont expliqués dans la première partie.
A la fin de la première partie, on trouvera, en appendice, un lexique des principaux
termes rencontrés dans l'héraldique anglaise.
Parmi les oeuvres citées dans la bibliographie, il convient d'en signaler quatre qui ont
servi de base à cette étude : les excellents ouvrages de Rietstap et de Renesse qui nous
ont permis de répertorier la plupart des pièces et meubles, et surtout deux traités
remarquables par leur clarté, celui de Palliot et celui de Veyrin-Forrer
Jean-Paul FERNON
Éditions d'Héligoland. 2011, ISBN : 978-2-914874-90-8, 1 volume 16 x 24, 330 pages. Édition normale : 27,00 € (vente par correspondance : 31 € franco). À commander chez le diffuseur EDH, BP 2, 27 290 Pont-Authou.
2 Armorial des familles de L'Orléanais d'après le manuscrit d'Hubert
Armorial des familles de l'ancienne province de l'Orléanais
Cet Armorial présente 1129 dessins de blasons couleurs des familles de l'Orléanais, s'appuyant sur le fameux manuscrit en 8 volumes rédigé au XVII ème siècle par le Chanoine Hubert, contenant les généalogies et descriptions d'armes des familles nobles et bourgeoises de cette province.
Il est le complément iconographique critique de l'ouvrage « Généalogies Orléanaises » de Vassal qui a publié au XIX ème siècle une table analytique du manuscrit d'Hubert, avec les fiefs, alliances et armes.
La généralité d'Orléans voit le jour en août 1558, supprimée peu après elle est rétablie en 1575, des Etats généraux convoqués par la Reine Mère régente Catherine de Médicis s'ouvrent en décembre 1560, ils seront clos en janvier 1561.
La généralité comprend 12 élections : Orléans, Beaugency, Blois, Romorantin, Vendôme, Chartres, Dourdan, Châteaudun, Clamecy , Gien, Montargis et Pithiviers, d'une superficie d'environ 3400 km2, incluant 1140 paroisses, des subdélégations à Cosne, Janville, Rambouillet, Saint Fargeau, Ménars la Ville et Vatan ; en 1643 la généralité passe à 13 élections, avec celle de Longny au Perche qui sera supprimée en 1685, Sully sur Loire aurait aussi appartenu à la généralité d'Orléans de 1597 à 1626.
En 1790 sous la révolution française furent créées des divisions départementales, depuis cette date la plus grande partie de l'Orléanais se retrouve dans les départements du Loiret, du Loir et Cher, de l'Eure et Loir.
Éditions d'Héligoland. 2012, ISBN : 978-2-914874-96-0, 1 volume 16 x 24, 198 pages. Édition normale : 27,00 € (vente par correspondance : 31 € franco). À commander chez le diffuseur EDH, BP 2, 27 290 Pont-Authou
Pour info sortie de 2 ouvrages:
1 Dictionnaire d'Héraldique de JP Fernon excellent ouvrage de fond , très riche et documenté;
Avant-propos
Depuis quelques décennies, l'héraldique connaît un regain d'intérêt. Des ouvrages
retraçant l'évolution de cette science de ses origines jusqu'à nos jours, ainsi que des
armoriaux des différentes provinces de France ou de pays étrangers sont
régulièrement édités ou réédités. Les encyclopédies - Larousse et Quillet - ont
largement diffusé les armes des grandes familles et de la plupart des chefs-lieux de
cantons français reproduits - ou, pour certains, créés - par l'héraldiste Robert Louis,
qui, par la qualité de ses dessins et de ses compositions, a sans nul doute contribué à
cet engouement pour le blason. A cela ajoutons l'impact non négligeable d'Internet
qui présente de plus en plus de sites d'une grande qualité sur le sujet.
Cependant pour le profane, le langage du blason reste souvent hermétique.
Nombreux sont ceux qui aimeraient, en lisant une description, pouvoir se représenter
ou même dessiner les armes d'une famille ou d'une commune. De même, beaucoup, à
la vue d'un écu armorié, souhaiteraient en noter de façon précise la définition. C'est à
eux que s'adresse cet ouvrage.
Si le vocabulaire héraldique était assez simple au Moyen Age, il s'est
considérablement chargé, au cours des siècles, de termes souvent inutiles qui ne font
que décourager les non-initiés. Dans son ouvrage "Figures de l'héraldique", Michel
Pastoureau écrit fort justement : "Un effort de quelques heures suffit pour apprendre
la petite centaine de mots et les quelques tournures syntaxiques qui permettent de
décrire en français plus de 80% des armoiries". Cependant, tous ces termes inutiles
sont entrés dans le vocabulaire héraldique et nous ne pouvons les ignorer.
Dans une première partie, on trouvera la liste alphabétique d'environ 1800 termes
utilisés en héraldique, certains étant d'un emploi peu courant ou pouvant être
remplacés, par souci de simplification, par un terme - ou une expression - que nous
appellerons "générique" et que nous signalerons (en vert). Pour la majorité des
articles, nous avons donné la nature du mot, et, parfois, son étymologie. Comme dans
tout dictionnaire analogique, on trouvera, à 1'intérieur de ces articles, certains mots -
en italique - qu'il convient de consulter à leur place dans l'ordre alphabétique pour
obtenir des renseignements complémentaires. Les chiffres suivis généralement d'une
ou plusieurs lettres renvoient aux planches de dessins figurant dans la deuxième
partie.
10
Dans cette deuxième partie, plus de 1200 dessins ont été classés, non par ordre
alphabétique, mais par catégories ou par formes particulières, ceci afin de permettre la
reconnaissance plus facile d'une pièce ou d'un meuble que l'on aura rencontrés dans
un écu armorié. Chacun des dessins est accompagné d'une légende dont les termes
sont expliqués dans la première partie.
A la fin de la première partie, on trouvera, en appendice, un lexique des principaux
termes rencontrés dans l'héraldique anglaise.
Parmi les oeuvres citées dans la bibliographie, il convient d'en signaler quatre qui ont
servi de base à cette étude : les excellents ouvrages de Rietstap et de Renesse qui nous
ont permis de répertorier la plupart des pièces et meubles, et surtout deux traités
remarquables par leur clarté, celui de Palliot et celui de Veyrin-Forrer
Jean-Paul FERNON
Éditions d'Héligoland. 2011, ISBN : 978-2-914874-90-8, 1 volume 16 x 24, 330 pages. Édition normale : 27,00 € (vente par correspondance : 31 € franco). À commander chez le diffuseur EDH, BP 2, 27 290 Pont-Authou.
2 Armorial des familles de L'Orléanais d'après le manuscrit d'Hubert
Armorial des familles de l'ancienne province de l'Orléanais
Cet Armorial présente 1129 dessins de blasons couleurs des familles de l'Orléanais, s'appuyant sur le fameux manuscrit en 8 volumes rédigé au XVII ème siècle par le Chanoine Hubert, contenant les généalogies et descriptions d'armes des familles nobles et bourgeoises de cette province.
Il est le complément iconographique critique de l'ouvrage « Généalogies Orléanaises » de Vassal qui a publié au XIX ème siècle une table analytique du manuscrit d'Hubert, avec les fiefs, alliances et armes.
La généralité d'Orléans voit le jour en août 1558, supprimée peu après elle est rétablie en 1575, des Etats généraux convoqués par la Reine Mère régente Catherine de Médicis s'ouvrent en décembre 1560, ils seront clos en janvier 1561.
La généralité comprend 12 élections : Orléans, Beaugency, Blois, Romorantin, Vendôme, Chartres, Dourdan, Châteaudun, Clamecy , Gien, Montargis et Pithiviers, d'une superficie d'environ 3400 km2, incluant 1140 paroisses, des subdélégations à Cosne, Janville, Rambouillet, Saint Fargeau, Ménars la Ville et Vatan ; en 1643 la généralité passe à 13 élections, avec celle de Longny au Perche qui sera supprimée en 1685, Sully sur Loire aurait aussi appartenu à la généralité d'Orléans de 1597 à 1626.
En 1790 sous la révolution française furent créées des divisions départementales, depuis cette date la plus grande partie de l'Orléanais se retrouve dans les départements du Loiret, du Loir et Cher, de l'Eure et Loir.
Éditions d'Héligoland. 2012, ISBN : 978-2-914874-96-0, 1 volume 16 x 24, 198 pages. Édition normale : 27,00 € (vente par correspondance : 31 € franco). À commander chez le diffuseur EDH, BP 2, 27 290 Pont-Authou
Dernière édition par gonsans le Dim 9 Déc 2012 - 12:41, édité 1 fois