Mon époux étant décédé, son fils ainé me réclame la chevalière que mon époux m'avait donnée, celle ci venant de sa tante paternelle.
Le fils ainé me disant qu'il est le seul à porter la chevalière aux armes.
Merci de votre réponse.
EcumeCyclique a écrit:
EcumeCyclique a écrit:Je ne connaissais pas ce terme, merci La Criante.
C'est bien du souci !EcumeCyclique a écrit: Et vous avez raison, étant philatéliste, je possède un cachet de cire aux armes de ma famille, d'ailleurs, puis-je dire « aux armes de ma famille » sans me ridiculiser à un hypothétique diner mondain ?
Il me semble que les gens qui s'y connaissent un peu en héraldique savent que la forme ovale pour l'écu n'est pas l'apanage des femmes...2Ailes a écrit:.... On voit que celle de votre grand-mère était gravée à l'origine pour une dame, comme l'indique l'écu ovale dans lequel les armes sont gravées. Les gens qui s'y connaissent un peu en héraldique auront l’œil sur ce genre de détail.
Et c'était la généralité dans les années 1700/1770 (en France en tous cas) alors !...2Ailes a écrit:Effectivement, l'écu ovale n'est pas réservé aux femmes, mais admettez que c'est un usage très largement répandu que de représenter des armoiries féminines dans un ovale. C'est aussi en vigueur en matière d'héraldique ecclésiastique,...
EcumeCyclique a écrit:Gonsans, puis-je dire alors « aux armes de ma famille » si je ne puis parler de « mes armes » ?
2Ailes a écrit:.......... j'ai plus tendance à penser qu'il a récupéré la chevalière de sa mère ou grand-mère plutôt que celle de son prêtre de père............
Le fait de mettre un blason sur soi n'est pas s'approprier le blason. Cf (entre autres) le nombre de véhicules ornés d'autocollants de blason de commune. La règle d'héraldique est ici abusivement évoquée.Nouridjanov2 a écrit:Je vous confirme que la famille Chassin du Guerny est bien subsistante et qu'elle compte des membres mâles installés dans l'aire Toulonnaise.
A votre place, j'éviterais de porter cette chevalière. Je pars du principe qu'on ne doit pas porter les armes d'un autre. C'est bien une des seules règles de l'héraldique qui fasse l'unanimité.
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