Association Royale "Office Généalogique et Héraldique de Belgique"
Avenue Charles Thielemans, 93
B -1150 Bruxelles
Tél. et Fax: 02 / 772.50.27
http://www.oghb.org/genebel.htm
Extraits de leur site :
"Comme dans les pays voisins, le port et même la création d'un blason sont parfaitement libres en Belgique, s'il ne s'agit pas d'une usurpation de droits de tiers. Il n'existe pas encore d'organisme officiel chargé d'enregistrer les armoiries familiales dans la partie francophone du pays (sauf pour la noblesse qui reçoit ses armes du Roi à l'occasion des lettres patentes). Dans la partie néerlandophone existe le Vlaamse Heraldische Raad. Pour leur part, les communes, les villes et certaines institutions obtiennent des armoiries officielles par arrêté royal. Quant aux évêques et aux abbés des monastères, ils se choisissent eux-mêmes des blasons sur le conseil éventuel d'experts en la matière.
Pour pallier l'absence de consécration officielle, les sociétés généalogiques et héraldiques belges accordent volontiers leurs conseils, soit pour reconnaître le port d'un blason familial ancien, soit pour orienter le choix d'un blason nouveau.
Ainsi, l'Office généalogique et héraldique de Belgique publie régulièrement, dans une rubrique intitulée " Héraldique vivante ", les blasons anciens ou nouveaux de ses membres, d'institutions et de sociétés privées. Ces publications, par lesquelles on peut ainsi manifester le port public d'un blason et lui donner un caractère au moins officieux, comportent un dessin exact de l'écu, une description héraldique correcte (blasonnement), une notice explicative avec, le cas échéant, une filiation dûment prouvée remontant aux anciens porteurs du blason, le tout paraissant avec les sources (référence à des sceaux par exemple) sous la signature du requérant. Cette procédure, frais de dessin et de publication compris, est relativement peu coûteuse (voir Services aux membres).
L'Office garantit que les blasons publiés dans " l'Héraldique vivante " répondent aux règles du droit, de l'art et de la science héraldiques. Une commission spécialisée est chargée d'examiner les requêtes, d'éliminer les blasons fantaisistes, de contrôler les filiations et de proposer éventuellement des modifications. Elle ne connaît que les écus, à l'exclusion de tous ornements extérieurs, ceux-ci ayant autrefois subi des régimes très variés, selon les États ou régions composant actuellement la Belgique.
Des cours d'héraldique sont épisodiquement donnés par un spécialiste au Centre de Documentation de l'Office."
Avenue Charles Thielemans, 93
B -1150 Bruxelles
Tél. et Fax: 02 / 772.50.27
http://www.oghb.org/genebel.htm
Extraits de leur site :
"Comme dans les pays voisins, le port et même la création d'un blason sont parfaitement libres en Belgique, s'il ne s'agit pas d'une usurpation de droits de tiers. Il n'existe pas encore d'organisme officiel chargé d'enregistrer les armoiries familiales dans la partie francophone du pays (sauf pour la noblesse qui reçoit ses armes du Roi à l'occasion des lettres patentes). Dans la partie néerlandophone existe le Vlaamse Heraldische Raad. Pour leur part, les communes, les villes et certaines institutions obtiennent des armoiries officielles par arrêté royal. Quant aux évêques et aux abbés des monastères, ils se choisissent eux-mêmes des blasons sur le conseil éventuel d'experts en la matière.
Pour pallier l'absence de consécration officielle, les sociétés généalogiques et héraldiques belges accordent volontiers leurs conseils, soit pour reconnaître le port d'un blason familial ancien, soit pour orienter le choix d'un blason nouveau.
Ainsi, l'Office généalogique et héraldique de Belgique publie régulièrement, dans une rubrique intitulée " Héraldique vivante ", les blasons anciens ou nouveaux de ses membres, d'institutions et de sociétés privées. Ces publications, par lesquelles on peut ainsi manifester le port public d'un blason et lui donner un caractère au moins officieux, comportent un dessin exact de l'écu, une description héraldique correcte (blasonnement), une notice explicative avec, le cas échéant, une filiation dûment prouvée remontant aux anciens porteurs du blason, le tout paraissant avec les sources (référence à des sceaux par exemple) sous la signature du requérant. Cette procédure, frais de dessin et de publication compris, est relativement peu coûteuse (voir Services aux membres).
L'Office garantit que les blasons publiés dans " l'Héraldique vivante " répondent aux règles du droit, de l'art et de la science héraldiques. Une commission spécialisée est chargée d'examiner les requêtes, d'éliminer les blasons fantaisistes, de contrôler les filiations et de proposer éventuellement des modifications. Elle ne connaît que les écus, à l'exclusion de tous ornements extérieurs, ceux-ci ayant autrefois subi des régimes très variés, selon les États ou régions composant actuellement la Belgique.
Des cours d'héraldique sont épisodiquement donnés par un spécialiste au Centre de Documentation de l'Office."